Dans un tumulte d’émotions et de revendications, les veuves des anciens employés de la Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA) ont convergé ce jeudi 21 mars 2024, portant avec elles les frustrations d’une interprétation erronée des textes. Armées de banderoles, de chants et de discours, elles ont pris d’assaut l’espace public, réclamant un droit qui semble être une chimère, une ombre dans les textes réglementaires qui encadrent l’ancien lieu de travail de leurs époux.
Au cœur de cette agitation se trouve une revendication des plus épineuses : l’engagement de leurs enfants à la DGDA, en remplacement de leurs époux décédés. Une demande audacieuse, nourrie par une croyance profonde en une législation fantôme, celle qui aurait prévu, selon elles, que l’un des enfants du défunt prenne la relève à la DGDA après son décès.
Pourtant, au-delà de l’émotion palpable qui anime ces femmes, se dresse la froide réalité des faits juridiques. Les textes régissant la DGDA, scrutés par des yeux experts, ne laissent place à aucune ambiguïté : nulle part n’est stipulée une telle disposition. Aucune clause ne prévoit le transfert automatique des responsabilités professionnelles d’un conjoint décédé à sa progéniture.
Mais alors, comment expliquer cette croyance enracinée dans l’esprit de ces veuves ? Est-ce un résidu d’espoir ou une interprétation erronée des lois qui régissent la Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA) ?
Les revendications des veuves de la DGDA face à la réalité des textes
Le Décret n°011/08 du 02 Février 2011 portant Règlement d’administration du personnel de la DGDA est catégorique : aucune disposition ne prévoit le remplacement d’un agent par son enfant. Cette réalité, aussi décevante soit-elle pour les demandeurs, est indiscutable et cristallise la situation dans toute sa clarté.
Pourtant, les arguments avancés par les veuves reposent sur une interprétation sélective, erronée et obsolète des textes. En se référant à l’article 25 point 3 de la convention collective de l’OFIDA, édition 1997, elles tentent de justifier leur demande. Cependant, cette convention n’est plus en vigueur depuis la création de la DGDA et le changement du statut du personnel. Même à l’époque où elle était applicable, cet article était sujet à des interprétations erronées.
L’article 25 point 3 de ladite convention énonçait clairement que « En cas de vacance d’emploi et dans la mesure où les candidats répondent au profil requis et aux critères d’embauche repris au point 1.1°, l’Office accorde priorité aux enfants des travailleurs décédés, pensionnés, réformés ou en activité et aux conjoints survivants ». Cependant, cette priorité ne garantissait pas automatiquement l’embauche des enfants des travailleurs décédés, mais plutôt une considération prioritaire dans le processus de recrutement, sous réserve que les candidats répondent aux critères requis.
Cette analyse indique clairement que la revendication des veuves des anciens employés de la DGDA reste sans fondement et dépourvue de base légale solide. C’est une conclusion difficile à accepter pour ceux qui ont placé leurs espoirs dans cette quête, mais c’est une réalité à laquelle il est nécessaire de faire face. En fin de compte, cette affaire souligne l’importance cruciale d’une compréhension précise et éclairée de la législation.
Interrogation entre une mauvaise interprétation des textes et une campagne de diabolisation contre le DG Kabese
Connu pour sa légalité inébranlable et son engagement envers le bien-être de son personnel, le DG Kabese incarne les valeurs de loyauté et de dévouement envers l’État et ses institutions. Alors que les revendications des veuves des anciens employés de la DGDA ont fait écho dans les couloirs, le DG Kabese reste résolu à faire primer la légalité et la justice. En tant que numéro de cette régie financière, il reconnaît l’importance de soutenir les ayants droit de la DGDA. En effet, ces derniers continuent de bénéficier de soins de santé de qualité et d’autres avantages de la part de cette régie financière. Le DG Kabese s’est engagé, comme toujours, à garantir que ces droits soient pleinement respectés et que le personnel en activité de la DGDA soit traité avec équité et respect. Cependant, en tant que leader visionnaire, le DG Kabese refuse de compromettre l’intégrité de son institution pour répondre à des revendications infondées. Sa loyauté envers la loi et son engagement envers le bien-être de l’ensemble de son personnel guident ses actions, même dans les moments les plus difficiles.
Étant légaliste et loyaliste, le DG Kabese ne cédera point à cette campagne populaire de diabolisation de ses pourfendeurs menée par des gens en mal de positionnement et qui n’ont pas des bases juridiques fondées sur cette question et même des principes de droits. Pour quel intérêt font-ils ce sale jeu ? Qui paie ces gens pour marcher a l’encontre même de la loi de République et surtout en ce moment où le Chef, par le canal du gouvernement a interdit les engagements et le mouvement du personnel. Comment vous pouvez dire une chose et son contraire alors que vous lisez la Bible, dans laquelle les Saintes écritures nous recommandent à l’amour : « Si vous mcimez alors faites ma volonté ». Comment prétendez-vous aimé Fatshi et n’obéissez pas à ses instructions ? ni aux lois de la République qui notent clairement que la DGDA n’est pas une mine d’or, une organisation à laquelle les engagements des employés se font sur base de la progéniture. Honte aux manipulateurs.