Son passage à la tête de l’Assemblée nationale a été marqué par sa capacité à désamorcer les tensions politiques, à maintenir l’institution dans son rôle de régulateur démocratique et à garantir la séparation des pouvoirs dans le respect de la Constitution. Il a su, durant son mandat, préserver l’image de l’Assemblée dans les moments de turbulences.
Christophe Mboso ne vient pas pour diviser, mais pour rassembler. Il veut bâtir « une Assemblée forte, équilibrée et au service du peuple congolais ». Son engagement envers la République est constant : fidélité, loyauté, et rigueur institutionnelle sont les piliers de son action.
À l’heure où la République démocratique du Congo cherche des repères stables dans la gouvernance parlementaire, Mboso se positionne comme une valeur sûre. Sa maturité politique, son sens du compromis et sa loyauté envers les institutions en font un candidat de confiance, capable de porter la voix du peuple et de défendre les intérêts de la Nation avec hauteur et dignité.
Christophe Mboso N’Kodia Pwanga : un candidat providentiel pour présider l’Assemblée nationale

Kinshasa, 22 octobre 2025 – L’annonce de la candidature de Christophe Mboso N’Kodia Pwanga au poste de président de l’Assemblée nationale marque un tournant décisif dans la vie politique congolaise. Figure d’expérience, pilier de la stabilité parlementaire ces dernières années, Mboso apparaît aujourd’hui comme un candidat providentiel, porteur d’une vision claire et d’un sens profond du devoir républicain.
À 82 ans, l’homme politique originaire du Kongo Central n’est pas un nouveau venu dans les arcanes du pouvoir. Juriste de formation, ancien ministre, plusieurs fois député national, et surtout ex-président de l’Assemblée nationale entre 2021 et 2024, Mboso incarne la sagesse, l’équilibre et l’expertise. Dans un contexte où le pays a besoin d’institutions fortes, stables et orientées vers l’intérêt général, sa candidature rassure et séduit.
« Je ne prends la place de personne », a-t-il déclaré avec humilité. « Je crois simplement que chaque Congolais mérite qu’on lui fasse confiance lorsqu’il sert loyalement la Nation. »
Pour beaucoup, il est plus qu’un candidat : il est un recours, un garant de l’équilibre républicain, un homme d’État prêt à continuer à servir. Son retour à la présidence de l’Assemblée nationale serait, pour les analystes, un signal fort en faveur de la continuité, de la compétence et de la paix institutionnelle.
